Dès les premiers temps, l'association a pu compter sur le soutien moral et financier de la Ville de Paris, et du Conseil Régional Île de France - conditions essentielles de sa structuration.

De nouveau épaulée par le Conseil Régional, l'association peut se développer, et faire un pas supplémentaire pour atteindre une dimension à la mesure de ses aspirations.

Soutien moral et matériel :

 

  • Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Solidarité
  • Ministère de la Jeunesse et des Sports, et de la Vie associative
  • Délégation Interministérielle à la Santé et aux personnes handicapées
  • UNAF
  • de nombreuses grandes entreprises

 

La loi du 11 février 2005 fixe à toute entreprise du secteur privé employant au moins 20 salariés, une obligation d'emploi de personnes handicapées, correspondant à 6% de son effectif total.

Les entreprises parviennent rarement à atteindre le quota de 6% de salariés handicapés exigé par la loi. Elles doivent donc payer «la contribution AGEFIPH » (fonds pour l'insertion professionnelle des personnes handicapées).

Parmi ces chefs d'entreprise, certains souhaiteraient embaucher des travailleurs handicapés, mais ne savent comment procéder. D'autres préfèrent éluder ce souci, et payent directement la contribution.

La démarche de BLB doit être comprise comme une participation des étudiants non-voyants dans le chemin que doivent parcourir les entreprises pour atteindre le quota des 6 % de salariés handicapés, chemin pavé, non forcément de difficultés mais en tout cas d'une part d'inconnu, forcément génératrice d'inquiétude.

Par le décret du 9 février 2006, les entreprises assujetties à la contribution AGEFIPH sont autorisées à verser 10 % de cette contribution, à des associations oeuvrant pour l'insertion sociale et professionnelle des handicapés.

 

Exemple chiffré :

une entreprise dont la contribution AGEFIPH s'élève à 300.000 €, peut scinder son versement      -------->      270 000 € à l'AGEFIPH et  30.000 € à une association sans aucune démarche de sa part.